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Section du PCF du Canton d'Agde membre du Front De Gauche
21 février 2013

Le 36ème Congrès vu par l'Humanité

C’est dans un climat serein que les délégués du 36ème congrès du PCF ont élu un Conseil national renouvelé et resserré dans l’objectif d’un travail plus efficace.

Rassemblée. Tel est l’image que donne ce moment important dans un congrès du PCF, l’élection de la direction nationale. Pour la première fois depuis plusieurs congrès, une seule liste de candidats était soumise au vote des congressistes. Pour Pierre Laurent, qui la conduisait afin de remplir un second mandat à la tête du PCF, ce fait témoigne « d’une maturité nouvelle » et « valide les choix politiques du PCF depuis le dernier congrès, en 2008 », avec cinq élections marquées par des progrès électoraux, le lancement du Front de gauche, les luttes contre les politiques de Nicolas Sarkozy et… 23 000 adhésions supplémentaires au PCF.

Ces résultats ne sont pas pour rien dans le fait que, malgré la présence de plusieurs textes d’orientation présentés aux suffrages des communistes en amont de leur congrès, en décembre, chacun a, au final, choisi de se retrouver sur une liste unique. Ce que souligne à sa manière l’ancien député André Gerin, dissident revendiqué depuis de longues années, en affirmant : « Je suis fier que le PCF ait toujours droit de cité, ce n’était pas gagné. » Nombre de délégués se sont exprimés dans le débat pour se réjouir de cette situation.

Collectif de travail

C’est avec la volonté « d’aller de l’avant », souligne Jacques Chabalier, en charge de la commission des candidatures au congrès, que « nous avons, avec douze propositions, intégré toutes les sensibilités » dans le Conseil national. Conseil qui sera paritaire et resserré, puisqu’il ne comptera plus que 166 membres, contre 233 jusqu’à présent. C’est, explique le responsable communiste, « pour gagner en efficacité ». Le Conseil national « ne devant pas être un Parlement où les positions sont figées mais un collectif de travail », l’objectif affirmé est de gagner à une meilleure « qualité du travail d’élaboration » de la politique du PCF sur tous les dossiers, ainsi qu’une plus grande « efficacité dans la mise en œuvre » des décisions. De ce point de vue, les liens avec les départements et les régions devraient être améliorés.

50% de nouveaux

Enfin, le renouvellement du Conseil national, dont la moyenne d’âge des membres est de 49 ans, est important, puisque 50 % des membres sortants (soit 116) le quittent. Dans ce cadre, les congressistes ont rendu un hommage particulier à des responsables comme Nicole Borvo Cohen-Seat, ancienne présidente du groupe communiste au Sénat, ou Francis Wurtz, député européen honoraire, qui ont marqué de leur empreinte le travail de la direction du PCF et contribué à son rayonnement. Au final, sur 766 délégués, 716 ont voté, 92 ont déposé un bulletin blanc ou nul et 624 ont approuvé la liste, soit… 100 % des suffrages exprimés.

Après avoir adopté par 554 voix sur 655 le texte "Il est grand temps de rallumer les étoiles",  les délégués du 36ème congrès du PCF ont poursuivi leurs travaux ce samedi avant la clôture dimanche midi. L'occasion de leur demander quel rôle ils souhaitaient voir leur parti jouer dans cette nouvelle séquence politique qui mène vers les échéances électorales de 2014.

La troisième journée du congrès a d'autre part été marquée par le réquisitoire contre "l'Europe de l'égoïsme", "au service des milieux financiers et patronaux", tenu par Pierre Laurent.

Fédéralisme centralisateur et autoritaire

Au lendemain du compromis budgétaire trouvé par les 27 pays de l'Union européenne qui diminue pour la première fois de l'histoire de la construction européenne le budget de l'UE pour les sept ans à venir, le secrétaire national du PCF a lancé: "La construction européenne, dans son mode ultralibéral, est aujourd'hui une machine extrêmement sophistiquée au service des milieux financiers et patronaux, et largement dominée par les intérêts des classes dirigeantes des pays les plus puissants, au premier rang desquels l'Allemagne."

Face à la crise, "au lieu de changer de cap, les forces du "consensus libéral" organisent la fuite en avant vers un fédéralisme centralisateur et autoritaire, seul capable à leurs yeux d'imposer l'austérité à des peuples qui la rejettent de plus en plus explicitement", a ajouté Pierre Laurent, qui dirige aussi la Gauche européenne.

Avril, meeting européen à Marseille

Evoquant le budget de l'UE adopté vendredi, "qui, pour la première fois, attaque les maigres dispositifs de solidarité existants", il a affirmé que "leur Europe devient celle de l'égoïsme et non pas de la construction, mais de la déconstruction européenne. Cela fait resurgir les replis nationalistes ou régionalistes, et prospérer de dangereux populismes racistes et xénophobes. C'est pourquoi nous opposons à ce risque l'ambition d'un véritable projet de refondation européenne qui mette le cap sur l'humain, sur la solidarité", a lancé Pierre Laurent, en appelant à ce que "toutes les forces de progrès (...) joignent leurs efforts, de manière concrète, permanente et systématique".

Le leader du PCF a notamment évoqué "un grand meeting européen" en avril, en suggérant de l'organiser à Marseille, "ville du sud tournée vers la Méditerranée et aujourd'hui capitale européenne de la culture".

Bartolone avertit les communistes. "C'est au PCF de choisir: on ne pourra pas venir demander les voix des socialistes pour maintenir des municipalités communistes tout en ayant comme seul objectif d'affaiblir le président de la République et le gouvernement", a averti le président de l'Assemblée nationale.

 

Max Staat

Chaque jour, le congrès du PCF vu par Patrick Apel-Muller, directeur de la rédaction de l'Humanité. Ce samedi, le texte "Il est grand temps de rallumer les étoiles" a été adopté par 554 voix pour, 74 contre, 21 abstentions et 6 refus de vote. Un vote qui donne tout son sens au slogan du congrès: "La force du partage"

Qui est le Panurge de cet élan moutonnier ? L’un d’eux ayant décrété contre tous les débats du congrès communiste que les délégués étaient déchirés par l’absence de la faucille et du marteau sur la carte d’adhérent, bien des médias ont emboité le pas. Dans la conférence de rédaction d’un quotidien du matin, on a même enjoint à l’envoyé spécial d’en faire SON sujet. Ca, c’est du journalisme, coco! Pierre Laurent a eu beau présenter la carte du PCF de 1944 qui ne porte pas ces outils et sourire de cet accès de fétichisme médiatique, c’était toujours samedi matin, la rengaine de BFM TV. Ca ne pouvait pas être celle de France 2 et de TF1. Les deux chaînes qui ont interdit d’antenne les journalistes de l’Humanité depuis l’élection de Nicolas Sarkozy n’ont même pas dépêché d’équipes aux assises d’un des principaux partis politiques. Au nom du pluralisme sans doute et de l’indépendance de pensée…

Sentiment de convergence...

J’évoquais un suivisme de troupeau, rien de surprenant à ce que je cite Buffon qui en inaugura l’étude : « L’homme n’est homme que pour ce qu’il a su se réunir à l’homme ». Réuni : c’est l’image qu’affiche le Parti communiste à Saint-Denis. Toutes les nuances du rouge y sont. Mais elles ne sont pas « dispersées façon puzzle ». Dès jeudi, les délégués avaient perçu un sentiment de convergence dans l’intervention d’André Gérin. Même envie d’unité dans les propos d’Hervé Poly du Pas-de-Calais. Pas de noms d’oiseaux dans les échanges, mais  jusque-là une écoute attentive des propos de l’autre.

... et liste unique

Vendredi soir la commission des candidatures a abouti pour la première fois depuis près de vingt ans à la constitution d’une liste unique, quand les congrès précédents voyaient des équipes concurrentes s’affronter. Un résultat d’autant plus appréciable que la constitution d’une « direction resserrée » a été choisie. Très massivement, les représentants des congrès départementaux se retrouvent dans la stratégie politique proposée, la poursuite du Front de gauche, la volonté de rassembler toute la gauche pour qu’une politique de gauche réussisse.

« C’est n’être bon à rien de n’être bon qu’à soi », jugeait Voltaire. L’ouverture du congrès aux vents du large, des luttes sociales aux conflits mondiaux, des enjeux du féminisme aux impératifs écologiques, est sans doute un indice de bonne santé. Rassérénés sur leur avenir, les communistes se penchent à nouveau sur les problèmes les plus concrets pour assoir leur volonté de transformer la société. Leurs débats s’en imprègnent même quand ils s’étirent un peu dans des controverses d’amendements sur leur Humanifeste.

« Je ne veux pas changer la règle du jeu, je veux changer le jeu », proclamait André Breton.  La question du communisme n’est pas envisagée à l’égal de l’horizon, cette ligne imaginaire qu’on n'atteint jamais, mais comme réponse(s) aux impasses de civilisation  qui menacent les futurs de l’humanité: Péril écologique si la planète est stérilisée par le court termisme du profit ; péril des conflits de la faim, de la haine et des dominations ; gâchis monstrueux qui détruisent les capacités humaines, assassinent les Mozart qui nous entourent ; destructions induites par le dogmatisme de l’austérité ; régressions pour lesquelles militent les multinationales… En affichant son congrès sous le slogan, « la force du partage », le PCF prend le contre-pied de la concurrence entre tous, et de chacun contre chacun.

Marche en avant

« Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître », prédisait Jean-Jacques Rousseau. Et la Révolution française secouait ensuite le vieux monde monarchique. Les communistes semblent dépasser la seule volonté de résister à des mauvais coups pour reprendre une marche en avant. L’attention portée par une centaine de formations progressistes du monde aux analyses du PCF, la forte présence de syndicalistes, de représentants d’associations, d’intellectuels lors de la rencontre vendredi soir à l’invitation de Pierre Laurent, l’ambition affichée sous le vers d’Apollinaire (« Il est grand temps de rallumer les étoiles ») témoigne de cette perspective retrouvée. « Nous partageons nos rêves et nos soleils », écrivait Eluard…

"La feuille de route paraît désormais suffisamment claire pour que toutes les nuances du PCF aient décidé 
d’y travailler ensemble sans les déchirements du passé", note Patrick Apel-Muller dans l'édito de l'Humanité de ce lundi spécial 36ème congrès du PCF.

Le temps se couvre. À Bruxelles, François Hollande a lâché prise 
et David Cameron, allié 
à Angela Merkel, retourne à Londres 
en vainqueur: le budget européen 
n’est plus seulement d’austérité, il devient de régression, sacrifiant non seulement les investissements utiles mais même les secours aux plus démunis et la solidarité avec les États de l’Union frappés par une catastrophe naturelle. Désormais, la toile de l’UE laisse voir sa trame: la concurrence libre et non faussée ou bien, selon l’expression de Marx, « toutes les activités englouties par la cupidité ». Même les lasagnes! Farcies d’on ne sait quoi par on ne sait encore quel escroc de haut vol. En France, la fin du débat sur le mariage pour tous, qui a vu défiler d’un même pas la droite et l’extrême droite contre l’égalité des droits pour les homosexuels, laisse la place à une parade de séduction du FN à l’égard de l’UMP. Marine Le Pen prône des désistements réciproques lors des élections à deux tours, tandis que son père souhaite constituer des listes avec des membres de l’UMP 
à Marseille. Il n’y a pas que la neige qui fasse frissonner.

Contraste. 
En sortant de leur congrès, les délégués du PCF avaient chaud au cœur. Unis comme ils ne l’avaient pas été depuis longtemps, ils se sentaient combatifs et dynamiques. Plantés au centre de la gauche, résolus à mettre en échec l’accord sur l’emploi, dicté par le Medef et signé par des syndicats minoritaires, ils vont sans délai se mobiliser sur trois sujets : l’amnistie pour les syndicalistes poursuivis en justice, l’adoption de la loi sur les licenciements boursiers et le droit de vote des étrangers aux élections locales. Au-delà, c’est le carcan de l’austérité qu’ils veulent faire exploser. « Il va falloir faire avec nous, comme on est », a lancé Pierre Laurent, à peine réélu secrétaire national, comme en réplique aux menaces de rétorsion aux municipales auxquelles s’était laissé aller le matin même le président socialiste de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone. L’ambition? Rassembler la gauche, les syndicalistes, les militants associatifs pour que cette période politique ne se termine pas avec l’enterrement de promesses mort-nées. Le but? Construire un « communisme de nouvelle génération » émancipé 
des échecs antérieurs afin de « réinventer le monde ». 
La feuille de route paraît désormais suffisamment claire pour que toutes les nuances du PCF aient décidé 
d’y travailler ensemble sans les déchirements du passé.

Nota bene. Aucune équipe de France 2 n’a assisté au congrès du PCF, pourtant long de quatre jours. Il faut lancer un cri d’alarme. Est-ce le résultat d’une pénurie de moyens qui dépasserait tout ce qu’on sait ? La direction de l’information aurait-elle égaré 
le pluralisme pourtant inscrit dans ses obligations ? 
Le service public aurait-il été subrepticement privatisé ?

Au troisième jour du Congrès du Parti communiste français, les délégués du Congrès, jeunes adhérents ou héritiers d’une tradition familiale, disent leur engagement. 

  • « J’ai décidé d’être de cette révolution citoyenne » Karima Boukallit, 30 ans, ergonome, Oise.

« C’est mon premier 
congrès. Je suis une toute jeune communiste. 
J’ai adhéré au Parti communiste juste avant la dernière élection présidentielle, en 2012. Alors que la crise s’approfondit, que se développait face 
à elle le mouvement des Indignés et 
que le Front de gauche organisait le rassemblement de la Bastille, j’ai décidé d’être de cette révolte, de cette révolution citoyenne. Avec mon père, militant à la CGT, et moi qui accumule depuis sept ans des CDD, je sais ce que signifient la lutte et le refus de l’injustice. Alors, c’est vrai, le PCF a une image un peu vieillotte, mais j’ai bien l’intention de contribuer à faire le lien avec les jeunes. J’attends de ce congrès qu’il nous permette de dépasser la dénonciation pour construire, avec des propositions, une alternative 
à l’austérité. »

  • « Une feuille 
de route claire » Raphaël Debu, 31 ans, chargé de mission sur les services publics, Rhône.

« Issu d’une famille de bolcheviques qui, petit à petit, a pris de la distance avec la politique, je suis de la génération qui reprend le flambeau. Le Congrès doit nous donner une feuille de route claire. Nous avons un gouvernement soi-disant de gauche. Il nous faut savoir comment être utiles. Nous le sommes souvent dans les exécutifs mais, au plan national, nous ne parvenons pas à gagner des ruptures avec les logiques libérales. Car on n’est pas à la bascule et ils n’ont pas besoin de nous. Alors, soyons au coude-à-coude avec le monde du travail et les syndicats pour créer un nouveau rapport de forces. Au plan de l’organisation, nous sommes dans une phase de redéploiement, mais le lien avec les adhérents est trop distendu. Il faut y remédier pour accueillir les nouveaux adhérents dont 50 % sont des jeunes. »

  • « J’attends un parti rassembleur » Irène Lavallée, 27 ans, formation professionnelle en ressources humaines, Gironde.

« C’est en 2005, lors de la campagne pour le non au TCE que j’ai adhéré au PCF. Il était alors hors de question pour moi de ne pas m’engager. Aujourd’hui, au regard de la dégradation de la situation de l’emploi, des services publics, j’attends un parti rassembleur, avec le Front de gauche, sur des propositions alternatives pour sortir de la crise. On ne peut pas espérer l’échec de la gauche gouvernementale au risque de graves conséquences pour les gens et d’une montée du Front national. Donc, pas d’opposition stérile, mais une démarche constructive. Dans mon stage, nous sommes 23 femmes, dont beaucoup ont vécu la violence des licenciements et des fermetures d’entreprises. Le seul moyen d’avancer, c’est le débat. Nous n’avons pas d’autre solution pour convaincre et gagner. »

Réunis à Saint-Denis, quelque 800 délégués du PCF ont inauguré jeudi les travaux de leur congrès en se penchant sur les conditions pour proposer l’alternative à l’austérité.

Après quatre mois de préparation, les communistes ont entamé hier les travaux de leur Congrès, déterminés à faire face tant à la crise qu’à la résignation. Cette volonté de « lever l’espoir », de « faire sauter le verrou qui empêche de penser un autre possible », a traversé les premiers échanges des 800 délégués qui débattront jusqu’à dimanche à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). « Une ville populaire et solidaire » où « le changement a toujours été ici et maintenant », selon les mots de bienvenue de son maire communiste, Didier Paillard.

Tout un symbole qui préfigure à sa façon des exigences qui s’expriment dès l’ouverture des discussions. La proposition du secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, de lancer « avec ce congrès un appel à l’ensemble des forces vives du pays, un appel à construire avec nous et toutes celles et ceux qui ont rejoint le Front de gauche l’alternative aux politiques d’austérité (…) à s’engager sans tarder sur ce chemin du rassemblement le plus large possible pour des solutions de gauche à la crise » y trouve de l’écho, même si certains témoignent de relations parfois difficiles avec leurs partenaires. « La question centrale, c’est comment être utile à notre peuple », lance William Burias, du Cantal. « Nous devons mettre entre les mains du peuple des propositions pour changer la vie, poursuit-il. C’est à cela que notre parti doit être utile, et non pas à une opposition stérile au PS et au gouvernement, qui n’ont pas besoin de nous pour alimenter la colère et la déception. »

Les champs d’intervention ne manquent pas. « Sécurisation de l’emploi », « renaissance productive du pays », « reconquête et extension des services publics », « égalité territoriale et renouveau de la démocratie locale » figurent parmi les « nombreux fronts » à investir que relève Pierre Laurent dans son discours. « Peu de victoires sont pour l’instant enregistrées », souligne, peu après, Nathalie Vermorel, de Saône-et-Loire. « Il manque le socle de la loi pour donner de nouveaux pouvoirs aux salariés mais aussi une mobilisation suffisante des citoyens », estime-t-elle. Alors, comment faire ? C’est la question à laquelle les communistes cherchent une réponse.

Pour beaucoup, la campagne lancée à Metz le 23 janvier pour l’alternative à l’austérité fourmille de pistes à explorer. Au-delà, un objectif commun : « Peser dans le combat de classe d’aujourd’hui », résume Sébastien Laborbe, de la Gironde. Et toujours mieux associer mouvement social et politique. Des avancées sont notées. Les organisateurs ont voulu en faire, hier, la démonstration avec la toute première intervention du Congrès réservée aux luttes des salariés. « Rassemblons-nous à l’unisson dans notre diversité pour faire aboutir le changement », a ainsi proposé Nathalie Marchand, syndicaliste hospitalière, arrivée à la tribune aux côtés de Jacky Mascelli, de la CGT de Gandrange, et de salariés de nombreuses autres entreprises. Et de reprendre en cœur avec la salle un refrain bien connu de tous ces militants : « On lâche rien ! »

Patrick Appel Muller

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